Neo Edo
Neo Edo reste une entité complexe à appréhender et à analyser : il n’y a presque aucune trace de musique ou de performance disponibles en ligne, cela parce que l'artiste Montréalais se décrit comme « être interdimensionnel servant de “fenêtre” ou d’intermédiaire à l’univers de Neo Edo ». Avec un profond intérêt thématique pour le transhumanisme, les réalités dystopiques et l’hyperconsommation, Bertrand s’inspire d’esthétique cyberpunk comme le collectif Laboria Cuboniks, le roman Neuromancer de William Gibson, et le travail de Kodwo Eshun et Mark Fisher au milieu des années 90 au sein de la Cybernetic Culture Research Unit (CCRU). Si aucune trace numérique des performances de Neo Edo n’a été trouvée en ligne (ce qui rappelle l’époque où les informations sur les raves n’étaient accessibles que par un numéro de téléphone pour les initiés), les empreintes de Neo Edo sont bien connus d’un large réseau de personnes qui ont fait l’expérience de plusieurs sets dans des lieux locaux de Montréal tels que le Cyberia, Eastern Bloc, Vitriola, La SAT et d’une bonne partie d'entrepôts non repertorié. 2019 lui a permis de se produire à l’Hôtel Printemps, au centre de Paris, tout en travaillant comme artiste en résidence. Composition de nouvelle musique et la conception d'une expérience de réalité virtuelle ambisonique ont été réalisées en parallèle avec le collectif culturel montréalais susy.technology, qui a été exposé au Château Éphémère.
Neo Edo reste une entité complexe à appréhender et à analyser : il n’y a presque aucune trace de musique ou de performance disponibles en ligne, cela parce que l'artiste Montréalais se décrit comme « être interdimensionnel servant de “fenêtre” ou d’intermédiaire à l’univers de Neo Edo ». Avec un profond intérêt thématique pour le transhumanisme, les réalités dystopiques et l’hyperconsommation, Bertrand s’inspire d’esthétique cyberpunk comme le collectif Laboria Cuboniks, le roman Neuromancer de William Gibson, et le travail de Kodwo Eshun et Mark Fisher au milieu des années 90 au sein de la Cybernetic Culture Research Unit (CCRU). Si aucune trace numérique des performances de Neo Edo n’a été trouvée en ligne (ce qui rappelle l’époque où les informations sur les raves n’étaient accessibles que par un numéro de téléphone pour les initiés), les empreintes de Neo Edo sont bien connus d’un large réseau de personnes qui ont fait l’expérience de plusieurs sets dans des lieux locaux de Montréal tels que le Cyberia, Eastern Bloc, Vitriola, La SAT et d’une bonne partie d'entrepôts non repertorié. 2019 lui a permis de se produire à l’Hôtel Printemps, au centre de Paris, tout en travaillant comme artiste en résidence. Composition de nouvelle musique et la conception d'une expérience de réalité virtuelle ambisonique ont été réalisées en parallèle avec le collectif culturel montréalais susy.technology, qui a été exposé au Château Éphémère.