Jana Rush
Jana Rush (Chicago) a commencé le DJing à l'âge de dix ans. À peine trois ans plus tard, elle figure sur Dance Mania (1996) avec DJ Deeon : Presents The Youngest Female DJ. Après une pause de musique, durant laquelle elle travaille de jour comme ingénieure chimiste dans une raffinerie de pétrole et comme assistante technologue Cat Scan la nuit, Rush revient sur la scène en 2016. Son EP MPC 7635, sorti sur Objects Ltd cette année-là, est remarqué pour ses beats de drum hallucinants. Son premier album Pariah (2017) a été nommé l'un des meilleurs albums de l'année par Resident Advisor, The Wire, Crack Magazine et parmi les meilleurs albums de la dernière décennie par Mixmag. Painful Enlightenment (Planet Mu, 2021) : ses montagnes russes d’émotions ; samples défigurés et frémissants ; percussions erratiques, est une œuvre euphorique et exaltante, mais également glaçante et parfois difficile d’accès. Comme en témoigne Rush, « ce n’est pas un album de footwork. Il s'agit plutôt d'une musique d'écoute expérimentale sombre, une opportunité d'être moi-même sans jugement ! » Une fois de plus acclamée par la critique - listes des albums de l'année du Wire, Bandcamp, Billboard, The Vinyl Factory, Stereogum, Crack et bien d'autres - c'est une autre facette de Rush qu’on découvre aujourd’hui depuis l’époque de Dance Mania dans les années 90.
Jana Rush (Chicago) a commencé le DJing à l'âge de dix ans. À peine trois ans plus tard, elle figure sur Dance Mania (1996) avec DJ Deeon : Presents The Youngest Female DJ. Après une pause de musique, durant laquelle elle travaille de jour comme ingénieure chimiste dans une raffinerie de pétrole et comme assistante technologue Cat Scan la nuit, Rush revient sur la scène en 2016. Son EP MPC 7635, sorti sur Objects Ltd cette année-là, est remarqué pour ses beats de drum hallucinants. Son premier album Pariah (2017) a été nommé l'un des meilleurs albums de l'année par Resident Advisor, The Wire, Crack Magazine et parmi les meilleurs albums de la dernière décennie par Mixmag. Painful Enlightenment (Planet Mu, 2021) : ses montagnes russes d’émotions ; samples défigurés et frémissants ; percussions erratiques, est une œuvre euphorique et exaltante, mais également glaçante et parfois difficile d’accès. Comme en témoigne Rush, « ce n’est pas un album de footwork. Il s'agit plutôt d'une musique d'écoute expérimentale sombre, une opportunité d'être moi-même sans jugement ! » Une fois de plus acclamée par la critique - listes des albums de l'année du Wire, Bandcamp, Billboard, The Vinyl Factory, Stereogum, Crack et bien d'autres - c'est une autre facette de Rush qu’on découvre aujourd’hui depuis l’époque de Dance Mania dans les années 90.